“Cette expérience de découverte m'a transporté dans un moment hors du temps” - @Caliban
A l’occasion de la sortie de Charlotte ce vendredi 6 octobre, notre Super User
Tu as été invité dans un lieu secret, raconte-nous ce qu'il s'est passé à ton arrivée
Quelques jours avant l'événement, j'ai reçu un mystérieux message de Deezer m'informant de ma sélection pour découvrir le nouvel album de Vitaa en avant-première. La date et le lieu du rendez-vous sont inscrits, mais je dois au préalable confirmer ma présence. Le jour J, je sors du travail et je prends mon train en direction de Paris. Nous avons rendez-vous dans le bar d'un hôtel parisien. La file à l'extérieur est déjà importante. Petit.e.s et grand.e.s enfants sont présent.e.s dans la foule. Nous attendons l'ouverture avant de pouvoir entrer. Nous sommes accueilli.e.s dans le bar de l'hôtel où trône à l'entrée un immense Photocall « Deezer X Vitaa ». J'ai également le droit à une mystérieuse enveloppe à mon nom. Il me reste alors juste le temps de récupérer un petit mocktail et de trouver une place avant de démarrer l'écoute.
Quel était le principe de l'événement ?
L'objectif de l'événement organisé par Deezer était de permettre aux utilisateur.trice.s sélectionné.e.s sur Instagram de découvrir en avant-première le nouvel album de Vitaa. Il est intitulé Charlotte et sort ce 06 octobre sur toutes les plateformes. Nous étions environ 80 personnes, des fans, des curieu.x.se.s, mais aussi quelques éditorialistes de Deezer et d'autres médias. Nous avions à notre disposition un petit carnet à l'effigie de Vitaa ainsi que la liste des 14 titres de l'album.
Avant l'écoute, nous avons dû déposer nos téléphones portables dans l'enveloppe précédemment distribuée. Les émissions du type « Money Drop » et « Secret Story » n'ont qu'à bien se tenir, Deezer sait garder les secrets. Une fois débarrassé.e.s de nos différentes technologies, Vitaa est venue nous présenter en quelques mots l'album. C'est un projet qu'elle juge beaucoup plus intimiste mais qui l'a également poussé davantage dans ses retranchements. Elle nous a également fait part de son inquiétude, car ce fut la première fois que son album allait enfin être écouté.e après plus d'un an et demi de travail. Durant l'écoute, nous avions un petit carnet sur lequel nous pouvions noter nos impressions, notre compréhension des titres et nos questions. 3, 2, 1 ! Place à l'écoute.
Comment décrirais-tu l'ambiance ?
L'ambiance était calme et posée. Tout le monde était extrêmement concentré.e durant cette écoute. Certain.e.s étaient touché.e.s par les titres, d'autres souriaient voire même dansaient sur leur banquette. Certaines personnes venaient de très loin pour assister à cet événement.
Quelle a été ta première réaction en entendant l'album ? Déjà un titre préféré ?
J'ai été marqué par l'harmonie générale de l'album. Les enchaînements des titres donnaient l'impression d'une continuité musicale et narrative. Cela est d'autant plus paradoxal que l'album est extrêmement divers musicalement. Il y a des titres très urbains, mais aussi des titres plus pop, voire un qui est même bachata. Je crois que c'est certainement ce titre qui m'a le plus surpris et marqué. Il s'intitule « Tu mens ». J'ai également beaucoup aimé le titre introductif « Charlotte », mais aussi « Les choses qu'on fait » ou encore « Un dimanche avec toi ».
As-tu pu échanger avec Vitaa ?
Alors oui, il était possible à l'issue de l'écoute de poser diverses questions à Vitaa. Elle y a répondu pendant près d'une heure. Chaque participant.e pouvait lui poser des questions sur la signification des titres, sur les easter eggs qu'il.elle.s avaient pu remarquer. Je me souviens par exemple d'un participant qui s'est rendu compte que le titre « Cœur endommagé » était la suite directe du titre « À fleur de toi ». C'est la suite de son histoire, avec des moments plus ou moins complexes, qui l'ont construit et qui ont fait d'elle la femme qu'elle est aujourd'hui. Elle a aussi détaillé plus en détail certains titres comme « Je saurai » qu'elle dédie à sa fille « son bébé miracle », où elle raconte que quoi qu'il arrive, peu importe ce que lui dira sa fille, elle saura, car une mère sait d'avance. Elle a également évoqué le titre « Ton amoureuse » qu'elle venait de sortir quelques jours auparavant et qui est cette fois une dédicace à son fils. Elle nous a également parlé de son « MODE V.I.T.A.A » qui lui permet en concert de tenir sans être prise par les émotions et de pouvoir assurer son show. Elle a également évoqué le titre « J'me déteste » dans lequel de nombreuses personnes dans la salle se sont reconnues. Vitaa y raconte son introspection, sa volonté de ne pas rejeter la faute sur l'autre, et d'apprendre de ses erreurs à elle. Elle nous a également confié qu'elle ne souhaitait pas que l'album s'appelle Charlotte* au départ, qu'il s'agissait d'une idée de son équipe, qui la forçait à se dépasser et à la tirer vers le haut. Avant de devenir le titre éponyme de l'album, le single « Charlotte » devait être l'outro de celui-ci. Elle a finalement décidé de reprendre l'écriture du morceau avec Renaud Rebillaud pour en faire une vraie intro. Avec le marathon médiatique, elle a commencé à doucement accepter le titre de l'album (qu'elle produit elle-même) mais aussi d'une certaine façon à accepter davantage la personne qu'elle est réellement dans la vie : Charlotte ! Elle a également fait quelques révélations après validation de son équipe sur une histoire de volumes de Charlotte et de featuring, dans un hypothétique futur plus ou moins proche… Le mystère reste entier. En revanche, à la question si moi j’ai personnellement échangé avec Vitaa, la réponse est : Je n’ai pas osé, mais je suis quand même parti avec une photo 😊
*Charlotte Gonin est le vrai nom de l’artiste
De façon générale, quelle était la différence entre cette expérience de découverte de l'album avec Deezer et l'artiste VS une découverte solo/perso ?
Cette expérience de découverte m'a transporté dans un moment hors du temps. C'est la première fois que j'écoutais de manière si minutieuse et en même temps de manière collective un projet audio de la sorte. Chacun.e de nous était transporté dans l'instant présent, dans la vie de l'album. C'est une expérience qui n'est ni un concert, ni un showcase, mais bien une rencontre entre une œuvre, son artiste et le public. Bien que nous soyons sur de l'audio et que nos écoutes soient de plus en plus dématérialisées, ce type d'écoute m'a également permis de me réapproprier la certaine matérialité d'un album. Un peu à la manière de ce que l'on peut vivre au cinéma : une expérience collective et artistique. Au-delà de ça, j'ai également été marqué par le caractère presque improbable et rare de vivre une telle expérience.
Tu conseillerais à la Commu de tenter l'expérience ?
Que vous soyez fan d'un artiste ou que vous ayez juste la curiosité de vivre une expérience de la sorte avec des artistes, je vous invite à retenter l'expérience en suivant le compte Instagram de Deezer.
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Quel.le artiste ou album rêverais-tu d’entendre avec Deezer ?
