Grâce à ce livre, il restera donc une preuve irréfutable que tout cela a bien existé un jour.

Un témoignage pour tous les nouveaux arrivants sur Deezer qui n’en ont pas conscience.

Oui ça n’est pas une légende, avant on pouvait se parler et communiquer librement, informer en laissant une trace pour dire aux autres ce qui nous avait transporté, ému, bouleversé…

Alors vraiment s’il vous plait :

RENDEZ-NOUS LES COMMENTAIRES SOUS LES ALBUMS ET LES PLAYLISTS

Bonjour à tous,

Quoi de neuf un an plus tard demande @musicjack ?

Et bien, Deezer ne s’est toujours pas rendu compte de la mine d’or sur laquelle ils étaient assis.

Plutôt que de le développer, ils ont consciencieusement démantibulé tout le magnifique côté social qu’ils avaient su créer depuis le départ pour ressembler maintenant à leur principal concurrent.

Ils avaient en main tous les outils pour se démarquer et être les plus originaux sur un marché pour le moins saturé en offres à peu près toutes identiques.

C’est par ce biais de la convivialité que Deezer pouvait se développer et tirer son épingle du jeu, mais ils ont été sourds à nos appels pourtant nombreux.

Aujourd’hui, ils cherchent de l’argent pour devenir plus gros et ça n’est pas gagné.

Le mardi matin 5 juillet 2022, Deezer a fait son entrée en Bourse.

Voici un extrait du journal Le Monde daté du soir du même 5 juillet 2022 :

“Deezer s’écroule de 22 % au premier jour de son introduction à la Bourse de Paris

Le concurrent français de Spotify avait déjà tenté de s’introduire une première fois en Bourse il y a sept ans, sans succès.

La plate-forme française de streaming musical Deezer a fait ses premiers pas, mardi 5 juillet, à la Bourse de Paris. Une introduction en présence du ministre de l’économie, Bruno Le Maire, qui a salué juste avant la cérémonie « une date historique pour Deezer, qui va pouvoir grandir ». « C’est son premier enjeu : avoir accès à des marchés internationaux, notamment anglo-saxons », a-t-il ajouté.

Derrière cette introduction en Bourse, « il y a un enjeu économique, en termes d’emplois, créations de richesses, culturel aussi. Je crois à la souveraineté culturelle française et les plates-formes de streaming, c’est une façon de défendre la culture française, la chanson française », a insisté M. Le Maire.

Premiers pas mouvementés

Ces premiers pas en Bourse ont été mouvementés pour le concurrent français de Spotify, qui plongeait, mardi matin, lors de ses premiers échanges à la Bourse de Paris, a fait savoir l’opérateur boursier Euronext. A 12 h 30, l’action Deezer s’effondrait de 22,64 % à 6,58 euros, contre 8,50 euros pour son cours d’ouverture, à la Bourse de Paris, en baisse de 1,11 %.

Pierre Michaud, gestionnaire de portefeuille chez Monocle, rappelle que dans le même secteur « la capitalisation boursière de Spotify a été découpée par trois en un an et demi ». La valeur de l’action du géant suédois a même perdu 60 % depuis le début de l’année, mais plus largement, c’est tout le secteur technologique qui dégringole. L’indice américain de référence, le Nasdaq, affiche par exemple une chute de pas loin de 30 %. « Deezer arrive à un moment où les capitalisations se rationalisent », il est donc normal que le titre subisse « une décote » et rattrape en quelque sorte les pertes des derniers mois d’un seul coup, estime l’analyste.

Quelques jours avant cette introduction en Bourse, Jeronimo Folgueira, directeur général de Deezer depuis juillet 2021, avait souligné auprès de l’Agence France-Presse que, pour cette « deuxième tentative » boursière, « la situation est différente de ce qu’elle était en 2015 ». « Le streaming musical est vraiment établi, il représente presque deux tiers des revenus de la musique enregistrée, ce qui n’était pas le cas avant », avait-il expliqué.

« L’état dans lequel se trouve l’entreprise est, aujourd’hui, bien meilleur qu’il y a sept ans. L’entreprise a changé, le marché a changé : c’est le bon moment pour franchir cette étape et devenir une société cotée », avait-il complété, tout en reconnaissant que le contexte est « difficile en ce moment » pour les valeurs technologiques sur les marchés financiers.

Un véhicule financier nommé « SPAC »

Pour réussir cette fois-ci, les principaux actionnaires de Deezer – notamment le milliardaire anglo-américain Len Blavatnik qui détient 43 % des parts – ont choisi un système d’introduction via un « SPAC », un véhicule d’investissement très populaire sur les marchés en 2020 et 2021 mais qui commence à s’essouffler.

Surnommée « chèque en blanc » ou « coquille vide », une Special Purpose Acquisition Company (SPAC) est une entreprise sans activité commerciale dont le but est de lever des fonds en entrant sur une place boursière. Les investisseurs ignorent au moment de la cotation du SPAC l’identité et donc le modèle d’activité qu’aura la société rachetée à terme. Ils signent, en quelque sorte, un « chèque en blanc ». Pour les entreprises cherchant à accéder au marché boursier, le SPAC est plus rapide et moins coûteux qu’une introduction en Bourse classique puisque la cotation a déjà lieu en amont. Mais pour les investisseurs, le manque de transparence de certains dirigeants de SPAC sur l’utilisation des fonds constitue un risque – risque d’autant plus complexe à prendre à l’heure où les banques centrales remontent leurs taux.

Dans le cas de Deezer, le SPAC I2PO, fondé par la famille du milliardaire français François Pinault, l’homme d’affaires français Matthieu Pigasse et l’ancienne dirigeante de WarnerMedia, Iris Knobloch, a récolté, pour l’heure, 143 millions d’euros.

Se recentrer sur le marché de la musique

Lancé en 2007, le service français d’écoute musicale par abonnement revendique près de 30 % du marché en France, mais ses 9,6 millions d’abonnés ne pèsent que 2 % du marché mondial du streaming musical, loin derrière le leader Spotify (31 % de parts de marché), Apple, Amazon et Tencent, selon le cabinet MIDiA.

La stratégie de Deezer, qui veut plus que doubler ses revenus d’ici à 2025, est de miser sur la musique, son univers et sa technologie, contrairement à Spotify qui multiplie les lancements de podcasts ou Amazon qui se concentre sur les livres audio.

Pour profiter de la croissance rapide du marché mondial du streaming (+ 26,4 % d’utilisateurs en un an au second semestre 2021), Deezer compte surtout s’allier avec des acteurs déjà implantés dans plusieurs marchés-clés pour s’appuyer sur des bases de clients déjà existantes : les opérateurs Orange en France et Tim au Brésil, ou encore le groupe RTL en Allemagne.”

Voilà les dernières nouvelles.

Il est clair que rien ne va dans le sens que nous aurions souhaité.

L’avenir prouvera peut-être un jour que nous avions raison en voulant placer l’humain en premier plan avant la finance mais on a bien compris que ça n’est pas pour demain hélas.

En tous les cas, pas avec ces décideurs là !

Dommage  ;-)

Bonjour à toutes et à tous.

En clin d’œil (nostalgique), je vous transmets le lien vers cet article s’intéressant au retour (timide) du cd, me faisant la réflexion qu’après le retour en grâce du vinyle* et même de la fameuse K7 audio**, pourrait suivre sait-on jamais celui de nos chers commentaires… L’article en question est à retrouver sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/quarante-ans-apres-sa-naissance-le-cd-refait-timidement-surface-5674700

(*) : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-petit-salon/qui-a-interet-au-retour-du-vinyle-5497673

(**) : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-transition/le-retour-de-la-k7-ou-l-art-du-lacher-prise-4942844

Sur ce, bonnes vacances si tel est le cas et bonne continuation.

P.S : j’en profite pour vous faire part d’une suggestion relativement aux commentaires associés aux partages, regrettant que le nombre de caractères (180) soit trop limité… Que penseriez-vous de le faire porter à 200, comme c’est déjà le cas pour ceux figurant au sein des playlists. N’hésitez pas à me donner votre avis à ce sujet, je suis preneur.

Bonjour @afrocubano ,

Oui, après le retour du cd, du vinyle et de la cassette, espérons le retour des commentaires de Deezer... !!!

C'est vrai, le nombre de caractères possibles dans le peu qui reste, description de playlists et partages, est vraiment limité, on ne peut pas y dire grand chose… Alors tout à fait d'accord pour avoir un espace un peu plus large. 

Par comparaison, les descriptions de pl sur YouTube sont limitées à 5000 caractères. C'est quand même nettement mieux pour détailler ce qui se trouve dans la playlist et donner tous les renseignements nécessaires !

Sans aller jusque là pour les commentaires associés aux partages, je pense que beaucoup apprécieraient d'avoir même plus que 200. 300 ou 400 caractères peut-être ? Je passe sur le sujet de cette idée.